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  • Regards croisés parents/enfants sur les apprentissages scolaires et parascolaires et le numérique

    Regards croisés parents/enfants sur les apprentissages scolaires et parascolaires et le numérique

    A l’occasion du lancement de Squla, plateforme numérique de jeux éducatifs basés sur les programmes scolaires de la maternelle au CM2, mêlant ludologie et digital, Ipsos a réalisé une étude à leur demande.

    Cette étude porte sur le regard des enfants âgés de 6 à 12 ans et de leurs parents sur les apprentissages scolaires et parascolaires. Quelles sont les matières préférées des enfants et celles jugées les plus essentielles par les parents ? Comment ces deux cibles perçoivent-elles les devoirs à faire à la maison ? Quelles sont les attentes des uns et des autres vis-à-vis d’Internet et des outils numériques dans l’apprentissage scolaire et parascolaire ?

    Maths et français, matières essentielles aux yeux des parents, (presque) préférées des enfants.

    Les parents sont unanimes pour dire que l’apprentissage du français et des mathématiques est essentiel pour leur enfant.

    Ils sont ainsi 99 % à considérer que l’apprentissage du français, à travers l’orthographe, l’écriture et la lecture est essentiel à l’avenir de leur enfant.

    De la même manière, ils attachent une importance considérable aux mathématiques, 91 % estimant que son apprentissage est essentiel. Par ailleurs, une large majorité de parents (71 %) pense aussi que l’apprentissage des langues vivantes est essentiel, devant l’instruction civique et morale (63 %).

    À noter que les parents considèrent que la familiarisation des enfants aux outils numériques (54 %) est plus essentielle que l’apprentissage de l’histoire et de la géographie (49 %).

    Du côté des enfants, les mathématiques apparaissent comme étant, de loin, leur matière préférée (29 %) suivie par le sport (17 %) et le français (16 %).

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    Si les garçons et les filles déclarent préférer les mathématiques, leurs goûts diffèrent assez largement. Les filles sont ainsi plus nombreuses à préférer le français puisqu’elles sont 24 % à indiquer qu’il s’agit de leur matière préférée, contre 8 % des garçons. Elles sont également davantage attirées par le dessin (16 %) que les garçons (4 %) qui sont quant à eux, 25 % à considérer le sport comme leur matière préférée contre seulement 9 % des filles.

    Enfin, si 20 % des parents disent être précisément au courant du programme scolaire suivi par leur enfant et 58 % être au courant mais pas de manière précise, plus d’un adulte sur 5 (22 %) estime ne pas l’être du tout. Un sentiment plus fréquent chez les ouvriers (33 %) et plus généralement chez les CSP- (27 %) que chez les CSP+ (16 %), mais aussi plus répandu chez les pères (25 %) que chez les mères (19%).

    Les devoirs en famille ne sont pas toujours un moment agréable.

    Parents et enfants s’accordent à dire que les mères aident beaucoup plus souvent les enfants à faire leurs devoirs que les pères (entre 4 et 5 fois plus souvent). Avec une nuance toutefois : les pères sont 23 % à dire que ce sont eux qui aident le plus leur enfant, quand seulement 12 % des mères leur reconnaissent ce rôle. Autre écart, et de taille : 23 % des enfants disent faire leurs devoirs le plus souvent seuls, contre 2 % des parents qui ont ce sentiment !

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    Globalement, une part importante des parents considère rencontrer des difficultés pour aider leurs enfants dans leurs apprentissages scolaires et parascolaires. La moitié des parents avance le manque de temps (50 %) ou de patience et d’énergie (48 %). 39 % ne savent pas comment donner le goût d’apprendre à leur enfant et 33 % se sentent impuissants quand ils pensent à l’éducation de leur enfant. Un quart (25 %) mettent aussi en cause leur manque de connaissances ou de capacités.

    Au total, c’est près d’un parent sur deux (47 %) qui avoue vivre le moment des devoirs comme un moment de stress.

    Autant de sentiments que restituent les enfants : 22 % de ceux qui font leurs devoirs aidés de leurs parents estiment que ces derniers ne savent pas toujours leur expliquer ce qu’ils n’ont pas bien compris en classe (24 % quand il s’agit de leur mère et 12 % quand il s’agit de leur père). Ils sont plus nombreux encore à témoigner de l’énervement fréquent de leur parent au moment des devoirs : 37 % !

    Pour répondre à ces difficultés, l’usage d’Internet semble fréquent aux yeux des parents. Ils sont 85 % à dire qu’il leur arrive de l’utiliser, dont 11 % souvent et 61 % au moins parfois, pour trouver des réponses et aider leur enfant pendant les devoirs. Les enfants sont moins nombreux (55 %) à déclarer que cet outil est utilisé par leur parents au moment des devoirs.

    Les enfants aiment les devoirs et rêvent de pouvoir apprendre sur tablette ou ordinateur…

    Enseignement majeur de cette enquête : une grande majorité (68 %) des enfants déclare aimer faire leurs devoirs et réviser leurs leçons, dont 20 % qui aiment beaucoup cela. Les filles se montrent encore plus enthousiastes (75 %) que les garçons (61 %), tout comme les élèves du primaire (71 %) le sont plus que les collégiens (62 %).

    Moins étonnant, les enfants adorent jouer sur l’ordinateur ou avec une tablette : 98 % disent aimer cela, dont 80 % l’aimer beaucoup (84 % des garçons).

    C’est donc tout naturellement qu’ils montrent un grand intérêt à l’idée de pouvoir jouer sur ces supports numériques tout en apprenant des choses : 96 % des enfants aimeraient en avoir la possibilité, dont 66 % qui aimeraient beaucoup. Dans le détail, ce sont les plus jeunes (69 % des 6-9 ans aimeraient beaucoup) qui ont le plus fort engouement pour cette idée.

    … ce que souhaitent les parents, néanmoins effrayés par les dangers d’Internet

    Les parents constatent volontiers que leurs enfants sont des utilisateurs réguliers des outils numériques. Si la télévision fait partie du quotidien des enfants (96 % la regardent au moins une fois par semaine), ils sont aussi régulièrement utilisateurs de l’ordinateur (84 % l’utilisent chez eux, dont 56 % au moins une fois par semaine) ou d’une tablette (80 %, 62 % au moins une fois par semaine).

    Ils sont aussi une majorité (54 %) à utiliser un smartphone mais 32 % « seulement » à l’utiliser chaque semaine.  L’usage des outils numériques a naturellement tendance à augmenter avec l’âge des enfants. A titre d’exemple, les enfants âgés de 10 à 12 ans sont plus nombreux (93 %) à utiliser un ordinateur que leurs cadets âgés de 6 à 9 ans (78 %).
    Le plus souvent, les enfants utilisent ces outils pour regarder des films et dessins animés (96 %, dont 78 % au moins une fois par semaine), des clips musicaux ou les vidéos de Youtubers (83 %), mais aussi dans un but scolaire ou parascolaire.

    77 % des enfants font des recherches pour l’école à l’aide des outils numériques, et 88 % jouent à des jeux éducatifs, dont la moitié (44 %) au moins une fois par semaine.

    Les parents sont conscients des mérites et avantages qu’apportent Internet et les outils numériques à l’apprentissage de leur enfant. 93 % des parents s’accordent à dire qu’il y a beaucoup de choses intéressantes sur Internet, et 85 % que les technologies numériques peuvent épauler les parents afin de mieux aider les enfants dans leurs devoirs.

    La même proportion, 85 %, pense que les outils numériques peuvent aider les enfants à mieux apprendre.

    Les parents reconnaissent également les mérites de l’apprentissage par le jeu. Ils sont convaincus que l’apprentissage doit être un plaisir pour les enfants (99 % le pensent), qu’il peut se faire par le jeu (95 %) et que s’amuser permet d’apprendre plus facilement (95 %).

    Cependant, tous ces mérites ne diminuent pas la vigilance des parents, dont la grande majorité s’inquiète des dangers d’Internet. Plus de 4 parents sur 5 redoutent que leur enfant fasse de mauvaises rencontres sur Internet (81 %) et près de 9 sur 10 pensent qu’il y a trop de contenus dangereux pour les enfants sur Internet (89 %).

    Squla est une initiative qui nous vient tout droit des Pays-Bas, où elle a été lancée avec succès il y a 8 ans. Aujourd’hui, plus d’un tiers des enfants néerlandais l’utilise. Squla est également présent en Pologne depuis 2015, et arrive en France en septembre 2016.

    Son concept : le jeu comme outil le plus puissant pour l’apprentissage des enfants !

    Grâce à un contenu de qualité créé par des professionnels de l’éducation, à la possibilité d’organiser des concours entre camarades de classe, et à la création d’un espace “parents” permettant de suivre les progrès réalisés, Squla plaît tant aux enfants qu’aux parents.

    Composée de 42 personnes, l’équipe internationale de Squla est animée par la volonté de transformer l’éducation grâce aux possibilités offertes par le numérique, pour le plaisir de tous !

    Source : Agence Com&Kids

    Plus d’infos : www.squla.fr

  • BUBULES, le fil d’Ariane : un programme éducatif évolutif qui s’adapte aux changements technologiques

    BUBULES, le fil d’Ariane : un programme éducatif évolutif qui s’adapte aux changements technologiques

    Episode 1

    Aujourd’hui, je vous ouvre mon esprit et même un petit coin de mon coeur. Je dévoile mon magnum opus, mon testament professionnel. Mais sans auparavant énoncer un sérieux AVERTISSEMENT. Que tous ceux qui s’objectent à l’usage du numérique dans leurs classes, que ceux qui considèrent qu’ hors le cours magistral, l’étude livresque et disciplinaire, fondé sur la mémorisation, point de salut pour les générations montantes, CESSENT immédiatement leur lecture car le texte ci-dessous va les horripiler peut-être au point de provoquer des éruptions cutanées ou des rhinites.

    En 2009, à une époque antédiluvienne pour ce qui est de l‘usage du numérique en éducation, j’avais observé trois réalités :

    1 – Les sciences étaient la plupart du temps enseignées aux écoliers en formation initiale sous forme de cours magistraux occasionnellement accompagnés de quelques démonstrations, de lectures, de recherches, parfois sur Internet, mais avec objectif principal la mémorisation par l’écolier des connaissances qu’on cherchait à lui transmettre.

    2- Déjà à cette époque encore primitive, Internet submergeait le citoyen d’un flot d’informations quelques fois erronées.

    3 – Les écoles de l’époque tardaient à faire usage du numérique.

    C’est alors que j’ai conçu « Pour le petit de l’Homme ». Avec le temps et les progrès technologiques, Pour le petit de l’Homme a évolué en BUBULES, le fil d’Ariane.

    Pour le petit de l ‘Homme s’adresse à tous les écoliers au moment de leur éducation de base telle que définie par l’UNESCO, c’est-à-dire les six années du primaire et le premier cycle du secondaire.

    C’est un programme d’étude formel d’une durée de huit ans qui propose une vison holistique et humaniste de l’éducation.

    Pour le petit de l ‘Homme a pour objectif principal de faire comprendre la science. Non pas mémoriser l’explication de tous les phénomènes, toutes les formules descriptives, mais principalement d’apprendre à appliquer ce principe de raison qui a permis à l’être humain d’atteindre son niveau d’évolution actuel. . .

    Francis Bacon (1561-1626), père de l’empirisme pose les fondements de la science et de ses méthodes.
    Il écrit dans Novum organum, livre 1,95 :  «  Notre plus grande ressource, celle dont nous pouvons tout espérer. c’est l’étroite alliance de ces deux facultés : l’expérimentale et la rationnelle.»

    Je définis la science comme la connaissance du monde matériel acquise principalement mais non-uniquement par la tradition culturelle gréco-romaine. Ce que l’on sait au sujet des diverses cultures humaines qui se sont succédées, révèle que toutes ont tenté avec un succès variable de comprendre les lois qui régissent leur environnement matériel pour apaiser les peurs, soigner leurs maladies, améliorer leur qualité de vie, se protéger ou dominer les nations voisines.

    De récentes études de textes chinois anciens démontrent que beaucoup de découvertes chinoises furent transmises aux Européens alors que les Chinois eux-mêmes ont depuis ce temps oublié qu’ils en étaient les auteurs.

    La science et ses applications, la technologie et l’ingénierie ont permis aux Européens et aux Nord-Américains d’envahir notre planète la Terre, dominer les autres groupes culturels et explorer l’espace.

    Par ce programme d’étude je désire faire prendre conscience à l’élève et à son maître de la neutralité de la nature, de la science et de la technologie. La nature et son étude, c’est-à-dire la science ne sont ni bons ni mauvais.

    C’est l’usage que l’être humain fait des objets naturels, des connaissances scientifiques et des applications technologiques qui ont des conséquences fastes ou néfastes. On trouve dans la nature des plantes qui peuvent autant nous nourrir que nous empoisonner, des animaux qui nous procurent les protéines essentielles au fonctionnement de notre organisme, mais d’autres dont le venin nous tuera ou qui nous considèrent à leur tour comme d’alléchantes proies. Une découverte scientifique pourra être appliquée positivement ou négativement, au choix de la société humaine qui en gère l’application.

    Je tente de démystifier la science, résultat de siècles d’étude de la nature par des êtres humains comme nous qui pas à pas ont suivi leur destin et permis aux autres humains de connaître et comprendre un peu mieux leur environnement. Je propose l’étude de la science selon une tradition humaniste et malgré Copernic et Galilée, je place l’élève au centre de l’univers.

    Je considère la science comme l’un des résultats de l’évolution de l’intelligence de l’Homme. Éduquer le Petit de l’Homme selon l’approche holistique et concrète préconisée par le programme dont je recommande l’usage vise à toucher l’intelligence de l’écolier au lieu de s’adresser à sa mémoire.

    Tout au long de son étude il y aura chez l’élève une constante interaction entre la réalité concrète et l’apprentissage intellectuel. L’élève maintiendra son contact avec la réalité. L’élève explorera le monde matériel par de simples observations, manipulations et expérimentations, l’usage de multimédia interactifs et de jeux vidéos.

    Nous vivons au sein d’une mer d’information et avec Internet le savoir semble à portée de clavier. Cependant on y trouve autant de bobards que de vérités. Nous sommes quotidiennement confrontés à une terminologie scientifique. Que de mots ! L’élève du XXIᵉ siècle doit comprendre le sens de ces mots et savoir utiliser avec intelligence ce langage. Même le simple concept de pollution s’avère souvent mal compris et interprété.

    La pédagogie de projets qui permet à l’élève d’apprendre à apprendre présente le danger d’un éparpillement des connaissances sans lien les unes aux autres.

    Le Rapport du Groupe de travail sur la Collaboration Internationale pour l’Évaluation des Programmes d’Enseignement Scientifique Fondés sur l’investigation (ESFI) conclue, entre autres, que les fragments de savoir doivent être rassemblés, que le travail expérimental ne permet pas toujours d’aboutir au développement des concepts. (Groupe Interacadémies sur des questions internationales (IAP), Rapport du Groupe de Travail sur la Collaboration Internationale pour l’Évaluation des Programmes D’Enseignement Scientifique Fondés sur L’Investigation (ESFI), Fundacion paral Estudios Biomedicos Avanzados de la Facultad de Medecina, Santiago, Chili, page 112)

    Quant à la « méthode scientifique » (OHERIC), beaucoup d’enseignants l’imposent à leurs élèves sans trop s’attarder au réalisme de son application. On ne peut pas demander à l’élève de réinventer la roue. J’ai vu des écoliers chercher rapidement la réponse à la question qu’il s’est posé en escamotant l’étape « observation » dont devrait être issue sa question et formuler son hypothèse après avoir « découvert » la réponse ainsi que la procédure pour réaliser l’activité de type expérimental sur Internet. Triste réalité de certaines de nos classes « branchées ».

    La première version du programme faisait la promotion du numérique, parfois pour trouver réponse à ses questions, enrichir ses recherches mais principalement en proposant le développement de jeux vidéos pour l’étude des sciences. En 2011/2012 se sont pointées les premières tablettes et l’accessibilité à une panoplie toujours grandissante d’applications ludiques et éducatives.

    Les enseignants ont maintenant accès à une quantité phénoménale de sites Internet qui présentent une multitude d’activités scientifiques ou divers jeux sérieux dont plusieurs traitent de sujets scientifiques mais dont l’application laisse souvent à désirer, selon les commentaires des usagers.

    NinonLouiseBubulesart3_021115Est-ce le rôle de l’enseignant de suivre l’évolution explosive de ces jeux ? Est-ce sage qu’il y consacre du temps ?
    Le rôle de l’enseignant n’est-il pas d’être présent à ses élèves et non de devenir un spécialiste de la recherche d’informations sur Internet ? Aura-t-il l’esprit critique, l’expérience suffisante pour évaluer la valeur éducative de ces produits ?

    Une analyse sommaire de ces jeux montre qu’il s’agit fréquemment de jeux de nature encyclopédique qui soit instruisent l’élève directement ou au contraire font appel à ses connaissances au lieu de lui faire vivre une démarche de découverte, d’analyse ou de réflexion.

    C’est dans ce contexte que BUBULES, le fil d’Ariane a été conçu.

    J’accole le terme « fil d’Ariane », qui est une adaptation française du terme anglais « breadcrump trail » à BUBULES car il se veut une aide non seulement à la navigation Web mais aussi à la navigation intellectuelle dans l’univers scientifique.

    Parfois l’éducateur et son élève retrouveront le chemin parcouru pour arriver à un site Web, mais d’autre fois il s’agira de retrouver le chemin parcouru pour arriver à ce concept, à cette explication d’un phénomène. Parfois le fil d’Ariane sera statique et indiquera où le sujet d’étude se situe dans le globe de l’univers scientifique.

    Le coeur de BUBULES le fil d’Ariane est le cahier interactif de l’écolier.

    NinonLouiseBubulesart1_021115Ce type d’application n’est plus unique et est disponible en numérique. Les deux illustrations présentent une image bien imparfaite de cette application.

    Multiplateforme évidemment, le cahier de note interactif se situe au centre du processus. L’écolier y trouvera les images ou les vidéos qui orienteront sa recherche, des indications pour réaliser les activités, les recherches, les manipulations, les expériences, des informations sur le sujet d’étude du moment et y fera le compte-rendu de son travail. L’écolier aura accès non seulement à des informations d’appoint, des vidéos. des images, mais aussi utilisera des capteurs lors de ses expériences, contactera d’autres écoliers de sa ville, sa région ou d’ailleurs au monde avec lesquels il échangera des données quand ce type d’activité s’applique à la leçon.

    L’enseignant pourra à partir de son ordinateur suivre les progressions de l’élève, les commenter à l’occasion, échanger avec les équipes de travail des écoliers, faire parvenir des évaluations du progrès de chaque élève aux parents quand il le juge opportun. Il y trouvera aussi un vidéo descriptif de chaque leçon à la manière de ces nombreuses émissions qui font la démonstration de recettes de cuisine. En bref, toute cette dynamique offerte par le numérique contemporain.

    Mais Pour le petit de l’Homme et BUBULES le fil d’Ariane, sont plus qu’une application numérique parmi d’autres, plus qu’une mécanique éducative. C’est une vision globale d’un monde rond, une toute petite planète qui voyage à une vitesse phénoménale dans l’univers, mais principalement de ses habitants qui possèdent cette étrange caractéristique qu’est la vie et d’une espèce particulière, l’être humain.

     

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    Source : Édulogia, Le tableau périodique des applications pour iPad par Sebastien Wart. Le tableau est une création de  Mark Anderson. 

    Article écrit par Ninon Louise LePage, tous droits réservés

     

     

     

     

     

  • Le logiciel éducatif GCompris passe en version 13.11

    Le logiciel éducatif GCompris passe en version 13.11

    gcompris2_151113Déjà présenté par LudoMag,  ce logiciel est bien connu des enfants, des parents et des enseignants du monde entier. En étant traduit dans plus de 60 langues il est devenu la référence mondiale dans sa catégorie.

    Il existe depuis l’année 2000 et comprend maintenant 140 activités. Néanmoins, la lecture était jusqu’à présent assez peu traitée dans Gcompris.

    Cette version inclut une nouvelle activité qui présente par catégorie des lots de 12 images parmi 1000 images disponibles. Lorsque l’enfant a parcouru les 12 images, plusieurs exercices lui sont proposées pour aider à la mémorisation. À chaque image est associée un texte et une voix.

    Il est possible de l’utiliser en français ou dans une langue cible comme l’anglais pour enrichir son vocabulaire.

    Si vous voulez avoir une idée de cette nouvelle activité et de l’interface utilisateur de Gcompris en général sans télécharger et installer les 300 méga octets de l’application, vous pouvez la tester en ligne en cliquant ici.

     

    Plus d’infos :
    GCompris est multi-plateforme, disponible sur Windows, MacOSX et GNU/Linux.

    Vous devrez néanmoins acquérir un code d’activation pour accéder à l’ensemble des activités. Le prix est de 9 Euros pour un particulier et de 39 Euros dans le cadre du Catalogue chèque ressources du plan numérique.